Song | Tu Prends |
Artist | Grégory Lemarchal |
Album | Reves |
Au bord de l'envie tu ressens | |
Le doute l'espoir à chaque instant | |
Perdu au fond de tes pensées | |
Tu vas finir par te trouver | |
Le reflet de la glace devient flou | |
La barre du trac te pend au cou | |
Et la douceur de l'esprit | |
Te donne le souffle de vie | |
Tu Prends tout cet amour qui te porte | |
Tes doigts se croisent pour faire en sorte | |
Que tes faiblesses deviennent poussière | |
Que tu oublies de te faire la guerre | |
Tu Prends tout cet amour qui t'emporte | |
Tes mains se croisent pour faire en sorte | |
Que tes prières caressent le rideau noir | |
Que tes yeux s'ouvrent car c'est ton soir | |
Et puis tu avances le long du couloir | |
Au milieu des regards | |
Derrière ton visages tu caches les failles | |
Et le teint blafard | |
Tu ramasses la moindre étincelle | |
De ceux qui te soutiennent | |
Le reflet de la glace devient flou | |
La bar du trac te pends au cou | |
Et la douceur de l'esprit | |
Te donnes le souffle de vie | |
Tu Prends tout cet amour qui te porte | |
Tes doigts se croisent pour faire en sorte | |
Que tes faiblesses deviennent poussière | |
Que tu oublies de te faire la guerre | |
Tu Prends tout cette amour qui te portes | |
Tes mains se croisent pour faire en sorte que tes prières caressent le rideau noire | |
Que tes yeux s'ouvrent car c'est ton soir | |
C'est ton soir | |
Tu Prends tout cet amour qui t'emporte | |
Tes doigts se croisent et vont faire en sorte que tes faiblesses deviennent poussières | |
Il est bien loin le temps de la guerre | |
Tu Prends tout cet amour qui t'emporte | |
Vers des milliers de rêves peu importe | |
Quand tes prières caressent le rideau noir | |
Que tes yeux s'ouvrent car | |
C'est ton soir |
Au bord de l' envie tu ressens | |
Le doute l' espoir à chaque instant | |
Perdu au fond de tes pensé es | |
Tu vas finir par te trouver | |
Le reflet de la glace devient flou | |
La barre du trac te pend au cou | |
Et la douceur de l' esprit | |
Te donne le souffle de vie | |
Tu Prends tout cet amour qui te porte | |
Tes doigts se croisent pour faire en sorte | |
Que tes faiblesses deviennent poussiè re | |
Que tu oublies de te faire la guerre | |
Tu Prends tout cet amour qui t' emporte | |
Tes mains se croisent pour faire en sorte | |
Que tes priè res caressent le rideau noir | |
Que tes yeux s' ouvrent car c' est ton soir | |
Et puis tu avances le long du couloir | |
Au milieu des regards | |
Derriè re ton visages tu caches les failles | |
Et le teint blafard | |
Tu ramasses la moindre é tincelle | |
De ceux qui te soutiennent | |
Le reflet de la glace devient flou | |
La bar du trac te pends au cou | |
Et la douceur de l' esprit | |
Te donnes le souffle de vie | |
Tu Prends tout cet amour qui te porte | |
Tes doigts se croisent pour faire en sorte | |
Que tes faiblesses deviennent poussiè re | |
Que tu oublies de te faire la guerre | |
Tu Prends tout cette amour qui te portes | |
Tes mains se croisent pour faire en sorte que tes priè res caressent le rideau noire | |
Que tes yeux s' ouvrent car c' est ton soir | |
C' est ton soir | |
Tu Prends tout cet amour qui t' emporte | |
Tes doigts se croisent et vont faire en sorte que tes faiblesses deviennent poussiè res | |
Il est bien loin le temps de la guerre | |
Tu Prends tout cet amour qui t' emporte | |
Vers des milliers de r ves peu importe | |
Quand tes priè res caressent le rideau noir | |
Que tes yeux s' ouvrent car | |
C' est ton soir |